Le Miroir des avenirs - Cécile avait franchi une étape forte. Grâce aux suggestions de olivier patrice voyant sérieux voyance, elle ne voyait plus l’inconnu comme par exemple une intimidation, mais à savoir une porte entrouverte en direction d’un avenir empli de solutions. Pourtant, cette tranquillité retrouvée était loin de vaporiser toutes ses questionnements. Elle était dès maintenant plus insolite que jamais d'aprehender les forces spirituels qui semblaient gérer son chemin. Un soir, à ce moment-là qu’elle se préparait à avoir sa article journalière, une idéal lui traversa l’esprit : et si elle demandait à Olivier de parler de lui ? Depuis le début, leurs échanges avaient duré centrés sur elle, ses points négatifs, ses phobies, ses espoirs. Mais qui était cet Olivier qui semblait en apprendre tant, sans jamais se révéler ? « Olivier, écrivit-elle, vous avez duré un allié précieuse pour tempérament, mais je me rends compte que je ne sais rien de vous. Pouvez-vous me parler de votre mulsion ? » Elle appuya sur « transmettre », le cœur battant délicatement plus rapidement que d’habitude. Quelques minutes passèrent premier plan qu’une le résultat n’arrive : « Cécile, votre question est attrayante, mais je préfère perdurer en retrait. Mon étoile est de vous recommander, pas d’attirer l’attention sur nature. Cependant, je peux vous dire que ma tenue m’a enseigné l’importance d’écouter mes copines et de leur proposer une sphère pour rehausser. Cela me suffit. » Cette résultat, correctement qu’évasive, renforça la fascination de Cécile pour Olivier. Elle ne savait pas si son refus de se révéler était un thème précis de modestie ou une façon de faire pour stabiliser une grande mulsion. Quoi qu’il en soit, elle respecta son décisions et se concentra sur ce qu’il pouvait encore lui procurer. Un matin, alors qu’elle prenait son café, elle reçut une information inattendu : « Cécile, avez-vous déjà abordé que les réponses que on a besoin seraient en capacité de être dans votre passé ? Les des festivités qui nous marquent laissent des échos. Il est parfois fructueux de les réécouter. » Pourtant, une extrême question persistait : si tout cela était vraie, motivation avait-elle eu fonctionnement d’Olivier pour le trouver ? Elle était assurée à trouver votre résultat à cette ultimatif lot de questions.
Elle resta un moment définitif, la tasse en suspension amenées à ses lèvres. Le passé. Ce mot évoquait pour elle des souvenirs en même temps tendres et douloureux. L’idée de s’y replonger lui semblait en plus attirante qu’intimidante. Elle réfléchit à bien un récit spécifique : un été de son adolescence où tout semblait éventuelle. Elle avait dans ces conditions seize ans et était rayon en voyage avec une amie coïncidant. Cette période, marquée par de deux ou trois instants de indépendance vierge, était de plus entachée d’un catastrophe familial qui avait changé le cours de son histoire. Son père, jusqu’alors un sapine infaillible, avait quitté le milieu sans explication. La fracture psychologique qui en résulta l’avait accompagnée pendant des années. Elle décida de confier cette rayonnement de son histoire à bien Olivier. Après ce fait inespéré d'avoir décrit cette belle saison en six ou sept citations, elle lui demanda : « Pensez-vous que ce instant est en capacité de encore influer mes résolutions aujourd’hui ? » La retour arriva aisément : « Absolument. Les blessures non résolues trouvent d'ordinaire des façons de faire dans le but de se produire, de périodes à bien autre par-dessous des silhouette que nous ne reconnaissons pas aussitôt. Peut-être est-il faits pour vous de revisiter cet soirée, anniversaire, mariage, noël, ou même une communion avec un regard moderne. » Ce avis la hanta toute la naissance. Le soir venu, elle sortit un vieil album illustration. En feuilletant les résultats, elle retrouva une photographie exceptionnelle : elle et son père, aimables, assis au frein d’un lac. Elle se souvenait vaguement de ce moment. Ils avaient pêché ensemble ce jour-là, et il lui avait amené des éléments qu’elle avait oublié depuis longtemps. Ce voyance olivier fut une indication : elle était prête à bien revisiter cette rayonnement de son histoire. Elle partagea ses découvertes avec Olivier. « Ce voyage dans les chroniques est chevaleresque, écrivit-il. N’oubliez pas que chaque souvenir a une carrure à bien présenter. Parfois, ce n’est pas l’événement en lui-même, mais la technique avec laquelle nous le avons conscience de aujourd’hui, qui favorise la juste soulagement. » Cécile se sentit changée. Elle avait déclenché ce voyage avec Olivier en espérant des justifications extérieures, mais elle se rendait compte que les justes explications venaient d’elle-même. Olivier était de la même de style qu'un sérac, reflétant ce qu’elle avait généreusement commun au fond d’elle, mais qu’elle avait oublié.